Un des risques liés à la plongée Nitrox est l’hyperoxie.

1. Il existe deux types de risques : pulmonaire et neurologique
2. Le risque pulmonaire est quantifié par le nombre d’UPTD atteint après une plongée et ne doit pas dépasser 625 UPTD
3. Le risque neurologique est quantifié par l’indice CNS (horloge oxygène) atteint après une plongée et ne doit pas dépasser 100 %
4. Seul le nombre d’UPTD est fourni par les ordinateurs/logiciels de planification de plongée trimix

On peut compter sur des signes avant-coureurs pour éviter une crise hyperoxique

Quelle durée d’inhalation d’un mélange sur-oxygéné est-il recommandé de ne pas  dépasser ?

Considérant la capture d’écran ci-dessus, répondre aux questions suivantes :

Plusieurs lois physiques sont importantes à la compréhension des phénomènes liés à la plongée scaphandre à l’air. Cependant, en plongée Nitrox, une loi est toute particulièrement importante. S’agit-il :

Quelles sont la profondeur maximale d’utilisation (PMU) d’un Nitrox 35/65 et la profondeur équivalente Air de sa PMU

Quels sont les niveaux maximaux de PpO2 recommandés pour l’élaboration de vos :

1. Gaz fond
2. Gaz de décompression

 

Après chaque fabrication de mélanges, qui doit remplir le livre de gonflage ?

Pour quelle raison, la capture d’écran A ci-dessus indique un message d’alerte et pas la B ?

Le(s)quel(s) de(s) inconvénient(s)/dangers potentiel(s) suivant(s) s’appliquent à la plongée sportive au Nitrox et non à la plongée à l’air

Vous justifieriez l’utilisation d’un Nitrox par quelle(s) affirmation(s) :